Un être, qui n'était que lumière, or et gaze,
Terrasser l'énorme Satan;
Mais mon coeur, que jamais ne visite l'extase,
Est un théâtre où l'on attend
Toujours. toujours en vain, l'Etre aux ailes de gaze.
— Charles Baudelaire, "L'Irréparable", from "Fleurs du Mal"
The inscription in the painting are the three last lines.
Oils in MDF 40 X 100 cm
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